La finance verte se structure davantage en France grâce à la taxonomie européenne, qui impose des standards environnementaux stricts pour les établissements financiers. Dès 2024, les banques et autres institutions financières doivent aligner leurs actifs aux objectifs climatiques de l’Union Européenne, notamment en matière de gestion de l’eau, de biodiversité et de réduction de la pollution. Ce cadre réglementaire incite les entreprises à évaluer et à limiter l’impact environnemental de leurs investissements, créant ainsi des produits financiers plus durables.

Un autre aspect important est l’introduction du standard européen pour les obligations vertes, approuvé par le Parlement européen. Ce standard permet aux entreprises et investisseurs de se concentrer sur des projets d’énergie renouvelable, de gestion de la biodiversité, ou d’infrastructures respectueuses de l’environnement. Le gouvernement espère que cette régulation renforcera le rôle de la France en tant que leader de la finance durable en Europe.